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Ne cherchez plus votre « moi », il n’existe pas

Il n’y a pas de « soi » à trouver disent le bouddhisme, la science et la PNL

Même si vous ne vous souvenez peut-être pas de votre enfance, vous croyez probablement que votre « moi » de l'époque, quelque chose  que vous allez appeler votre « être essentiel » est resté intrinsèquement le même que ce qu’il est aujourd'hui. Il existerait donc en chacun de nous quelque chose, une identité, qui resterait inchangé tout au long de notre vie ?  Les bouddhistes suggèrent que ce « Soi » n'est qu'une illusion, et ce point de vue philosophie est de plus en plus soutenu par la recherche scientifique, et en particulier par Evan Thompson de l'Université de Colombie-Britannique au Canada. La programmation neuro-linguistique ou PNL enseigne que l’identité n’existe pas, car c’est une abstraction ou une « nominalisation ».

Sens de la vie et opinion politique

Si vous cherchez toujours le sens de votre vie, c'est que vous êtes plus libéral que conservateur

Un lien est-il possible entre votre positionnement politique et votre réponse au sens de la vie ? Il semble bien que oui. L'analyse  d'une série d'enquêtes menées dans 16 pays sur plusieurs années montre que les gens qui se positionnent plutôt du côté conservateur sur l'éventail politique croient que leur vie a un sens, tandis que ceux qui se positionnent du côté libéral continuent à chercher un sens à leur vie. "Etre ou ne pas être ?" demanda Hamlet à haute voix alors qu'il réfléchissait au sens de la vie. Hamlet était peut-être un libéral. "Trouver un sens à la vie est en lien avec le sentiment que les choses sont telles qu'elles devraient être, et qu'il y a un sens de l'ordre " dit David Newman, un des chercheurs.  "Si la vie vous semble chaotique, vous aurez moins l'impression que la vie a un sens"

Libérez votre Einstein intérieur grâce à la deuxième position de perception

 Se voir comme Einstein, avec la deuxième position de la PNL ou l'incarnation virtuelle de la science peut changer votre façon de penser

Votre incapacité à obtenir ce que vous souhaitez, ne remet pas en cause qui vous êtes, mais reflète peut être ce que Richard Bandler et John Grinder appellent une carte mentale "appauvrie". Si vous n'avez pas la bonne carte, comment évoluer de façon efficace dans le territoire ? Une des solutions proposées par la programmation neuro-linguistique (PNL) est d'enrichir votre carte mentale en adoptant une autre position de perception, une deuxième position en vous voyant à partir du cadre de référence d'une autre personne, ou une troisième position en adoptant la position d'observation de votre relation entre l'autre personne et vous même. La pratique de l'exercice montre que l'on sort systématiquement avec de nouvelles perception de soi et des autres. Cela est-il prouvé scientifiquement diront les sceptiques ? Oui en effet il existe plusieurs études sur l'impact positif de l'adoption des positions de perception. Que se passerait-il si vous adoptiez la position de perception d'Einstein ? 

Notre personnalité serait sous le contrôle de notre système immunitaire

Le comportement social pourrait être sous le contrôle de certaines composantes de notre système immunitaire

Les animaux ayant évolué pour devenir de plus en plus sociables, le risque d'entrer en contact avec des agents pathogènes et d'attraper des infections de leurs compagnons s'est accru, ce qui a conduit à la plus grande nécessité d'un système immunitaire fort. Bien que ce lien puisse sembler logique, des chercheurs de l'Université de Virginie ont  démontré pour la première fois que le système immunitaire des souris contrôle directement les parties du cerveau responsables du comportement social, indiquant que l'évolution de la sociabilité peut avoir été produite par cette cette immunité.

L'aphantasie ou absence d'imagerie mentale volontaire

Vivre sans images dans la tête

Dans les exercices PNL cherchant à identifier les système de représentation primaire, nous posons plein de questions  se rapportant aux différents registres sensoriels, en présupposant qu'il y a bien un système de représentation visuel, même si ce dernier  n'est pas toujours prédominant. Et bien c'est une erreur, car si  le sujet à qui on pose la question  "combien de fenêtre y a-t-il à votre maison" se dit incapable de répondre, c'est peut être qu'il ne peut se fabriquer une image mentale, comme le montre une étude publiée dans la  revue Cortex.  Cette situation  qui est considérée comme "pathologique" et qui porte le nom d'aphantasie, est décrite dans l'article de Marc Gozlan "Vivre sans images dans la tête" sur le site de Sciences et Avenir.

Les blondes ne sont pas stupides, la science le confirme

Le QI moyen des blondes est légèrement plus élevé que celui des brunes ou des rousses !

Voilà un sujet fort délicat à aborder : le QI est-il lié à la couleur des cheveux ? Selon vous, quel est le QI de Jayne Mansfield qui est sur la photo ? Au dessus ou en dessous de la moyenne ? Quels sont les critères que vous prenez en compte pour prendre votre décision ? Si le fait qu'elle soit blonde et dénudée abaisse le QI présupposé de la dame, il est temps de lire l'article ci-dessous. Une étude américaine a cherché à démontrer si le préjugé, ou l’équivalence complexe selon le modèle de la PNL « les blondes sont stupides » est fondé ou pas. Donc fini les blagues sur les blondes ? Cette étude qui ne semble pas sponsorisée par Hillary Clinton constitue la revanche des blondes, car elle démontre que la distorsion est bien une distorsion. L'étude  "Are Blondes Really Dumb? " de la Ohio State University réalisée sur 10878 personnes a montré que les femmes blanches aux cheveux blonds (vraies blondes!!) avaient un QI moyen de 103,2, contre 102,7 pour les femmes aux cheveux bruns, et 101,2 pour les rousses et 100,5 pour celles qui ont des cheveux noirs.

Pour influencer, préférer écouter que parler

Écouter pour influencer

Voilà une étude qui conforte la notion de rapport de la PNL et qui démontre l’importance de l’écoute dans le processus d’influence. Il est courant de penser que les champions de l’influence sont les beaux parleurs. Et bien cette croyance est remise en cause. Si avoir une langue bien pendue a de l’importance, savoir être à l’écoute de son interlocuteur l’est encore plus. Les volontaires de l’étude publiée dans le “Journal of Research in Personality” ont été notés par d’anciens collègues de travail sur trois paramètres : le niveau d'influence, la facilité d’expression verbale et les comportements d'écoute.

C'est bien plus vrai si j'y crois !

L'information est acceptée comme exacte si elle correspond à notre vision du monde

L’apôtre Saint Thomas ne voulait croire en la résurrection du Christ que lorsqu’il aurait vu et touché lui-même ses plaies. Ne faudrait-il croire que ce que l’on voit ? Seule la vision, la perception sensible en général serait en mesure d’appréhender la réalité elle-même, telle qu’elle est. Mais cette perception est-elle au-dessus de toute critique ? Ou l’expérience sensible est-elle la seule source de connaissance que nous pouvons admettre comme véritable ? La pratique de la PNL nous montre cependant que la perception ne nous donne pas forcément la vérité, ou ne nous donne qu’une partie de la vérité. Ce que nous percevons dans le monde dépend de nos filtres cognitifs et somatiques.

Faciliter le développement de l'Intelligence Collective avec Robert DILTS

Une formation de 3 jours sur l'Intelligence Collective avec Robert Dilts, du 12 au 14 octobre 2018 à Paris à l'Institut Repère

Travailler au sein des groupes et des équipes représente une part de plus en plus fréquente et importante des activités de l'entreprise du monde moderne. Les équipes hautement performantes sont celles qui appliquent les principes de l'intelligence collective, c’est-à-dire la capacité des membres d'une équipe, un groupe ou une organisation à penser et agir d'une manière alignée et coordonnée. Le produit d'une intelligence collective efficace est ce qu'on appelle la collaboration générative.

La puissance d'une métaphore pour changer une opinion

Les métaphores peuvent changer nos opinions d'une manière que nous ne réalisons même pas

Voici un article de Steve Rathje, qui pourrait être un hommage au remarquable travail de James Lawley et Penny Tompkins sur le Clean Language et la modélisation symbolique. Car ces derniers enseignent depuis de nombreuses années la puissance de la métaphore dans les processus de changement. Puisque nous pensons avec des métaphores, changer de métahores nous aide à penser de façon nouvelle. 
« Savez-vous ce qui possède la capacité à influencer vos opinions, et dans certains cas, bien plus que ce que pourrait le faire votre propre parti politique? Une métaphore !